vendredi 22 février 2008

Trois étoiles : La gestion de Joëlle Ceccaldi-Raynaud à l'honneur








2 % des villes de plus de 10.000 habitants obtiennent la note maximale de 3 étoiles. Puteaux en fait partie.

Pour la deuxième fois, Challenges fait un bilan des gestions municipales : les 873 villes françaises de plus de 10 000 habitants ont été scrutées à l'aune de 5 critères et notées.

1. Maîtrise de la fiscalité


2. Service de la dette


3. Solvabilité


4. Sincérité budgétaire


5. Marge de manoeuvre


jeudi 21 février 2008

Ensemble construisons l'avenir


ouvrir le carnet de campagne de Joëlle CECCALDI-RAYNAUD en pdf

Revue de Web : innovation-democratique.org


19 février 2008

Ancien Maire de Puteaux, Charles Ceccaldi Raynaud, fut l’homme qui durant 35 ans fut le Premier Magistrat d’une commune qu’il géra avec une main de fer dans un gant de velours.

À 82 ans Ceccaldi n’est plus un homme, mais individu aveuglé par une rancœur et une férocité qui le déshonore à tout jamais.

A-t-on jamais vu, un Père, écrire des infamies sur sa fille unique ? (Il a malheureusement perdu son fils Louis dans un accident dans son village de Corse.) Sa méchanceté est indigne d’un Père, d’un homme qui à longueur de journée blasphème sur la chair de sa chair.

Ne croyez pas que l’Ex Maire soit inconscient des propos qu’il tient, c’est tout le contraire, et c’est là le drame de cet homme. Alors, que tout Papa serait heureux de constater que son enfant assume avec compétence et droiture son mandat de Maire, lui le Père, est jaloux du succès d’une jeune femme qui, en ces moments difficiles pour elle, aurait besoin de sentir la chaleur bienveillante d’un Père, d’un Papa fier ( comme le sont les Corses) de constater la réussite d’une femme qui a son sang qui coule dans ses veines.

Les électeurs de Puteaux ne sont pas dupes, ils apprécient celle qu’ils appellent avec respect « Joëlle ». Cette jeune Dame a obtenu du Chef de l’État « dont elle fut la suppléante durant de longues années », qu’elle puisse être élue députée de Neuilly Puteaux. Connaissant personnellement Nicolas Sarkozy depuis 1977, je puis affirmer « que s’il donne sa confiance à Madame le Maire de Puteaux pour être élue Députée de Neuilly Puteaux », il faut qu’elle soit à la hauteur de son mentor, aujourd’hui, Président de la République.

En Démocratie, personne ne peut prévoir l’issu d’une élection. La campagne électorale ne ménage personne, et les pires ( saloperies) sont dites.

Puteaux est devenu une cité moderne, où rien, n’est laissé au hasard. Vu le plaisir que nous avons à faire visiter notre ville à nos amis, ces derniers me disent ; ( Qu’elle est la fée qui a, en si peu de temps transformée cette commune des Hauts-de-Seine.)

Que ce soit dans le domaine social, (Joëlle a voulu que nos anciens, et notre jeunesse) deviennent une de ses priorités.

Les immeubles vétustes ont soudain disparu pour laisser la place à des habitations modernes et adaptées à une architecture plaisante, en harmonie avec le quartier de « la Défense. » À Puteaux, « l’ensemble des femmes ou des hommes qui déambulent sur ses trottoirs » « souvent éclairé tant par de magnifiques lampadaires, qu’à même le sol » apprécie un cadre de vie qui n’a rien à envier à la ville sœur « Neuilly-sur-Seine ».

Dans son délire, Ceccaldi écrit que nous sommes en république, ( cela nous le savions), mais il prétend aussi que si sa fille était élue, nous serions en Monarchie à Puteaux. Vraiment, il faut avoir un esprit démoniaque pour avancer des choses pareilles. Je laisse à mes lecteurs le soin de constater qu’en France, surtout dans le milieu du spectacle, mais aussi à l’Assemblée nationale, l’on retrouve sur ses bancs des Fils ou des filles qui ont été élus démocratiquement, succédant ainsi à leurs parents.

Les électeurs de Puteaux savent que la diffamation est une arme qui se retourne contre celui qui pour assouvir sa haine, continue à délirer.

Gageons qu’à Puteaux, Monsieur Charles Ceccaldi Raynaud, saura quitter la scène politique avec dignité.

UMP - Puteaux

UMP - Puteaux

délégué de ville : PASCAL CAUMONT

les élus au comité de circonscription :

David BARBELIVIEN
Georges BERKANE
Claude BOUCHEREAU
Gérard BRAZON
Tiphaine BRUGNON-HAMZAOUI
Jean-Marc CHENEVELLE
Philippe COUDEYRAT
Denise-Marie DUBUS
Vincent FRANCHI
Marc-Antoine GIANNI
Joël GUERROUDJ
Jocelyn HOURLIER
Maxime HUOT
Patrick LANGLOIS
Valérie LIVET
Jean-Philippe LOTTEAU
Olivier PERRAULT
Stéphane PETIT
Franck ROBERT
Guillaume VICH
Jean-Marie BALLET
Max BLANQUER
Laurent CLEMOT
Céline COULON
Jean-Pierre DESCROIX
Brigitte GAVALDA
Francine GEORGEON-PATIN
Colette GONZAGUE
Jean-Pierre JOLY
Rostee JOSEPHINE
Jean-Daniel KENNEL
Jean KRITCHMAR
Joëlle LACONTAL
Hélène LADJADJ
Gérald LAMBILLIOTTE
Marie-Claire LOLLIEROU
Raymonde MAILLARD
Eric MASCETTI
Martine SMADJA

mercredi 20 février 2008

Revue de Presse






PUTEAUX
Joëlle Ceccaldi-Raynaud: 
«On a tous des histoires de famille...»
Propos recueillis par Florence Hubin | Le Parisien | 20.02.2008 | 07h00


Vous présentez une liste renouvelée où apparaît votre fils. Il s’intéresse aussi à la politique ? 
Joëlle Ceccaldi-Raynaud. Sur 43 conseillers, il y a une vingtaine de nouvelles têtes. Dans notre ville, où tous les conseillers ont été d’une fidélité exemplaire, cela n’a pas été facile de faire des choix. Mon fils est sur la liste, je ne le cache pas. Il est né à Puteaux, il a sa carte à l’UMP, il est assistant parlementaire de Jean-Pierre Fourcade (NDLR : sénateur UMP des Hauts-de-Seine et candidat à Boulogne-Billancourt) , il est étudiant et prépare un master en économie. Il est jeune, dynamique, il a beaucoup à nous apporter et a toute sa place sur la liste.


Les querelles avec votre père, Charles Ceccaldi, troublent vos électeurs…Les Putéoliens en ont marre de ce remue-ménage. Nous avons tout donné de nous-même pour cette ville. Tout cela prend des proportions… Ce qui m’envahit, c’est beaucoup de tristesse. 
Je ne sais pas ce qui s’est passé. C’est mon père et je l’aime quoi qu’il arrive et quoi qu’il dise. En 2001, il a écrit une lettre aux Putéoliens en disant qu’il ne finirait pas son mandat. 
En avril 2004, j’étais son premier adjoint, il a démissionné et il est venu me chercher.


Votre père affirme qu’il vous a demandé de le remplacer parce qu’il était très malade. Lui avez-vous pris sa place ? 
Il n’a été hospitalisé que sept mois plus tard, en novembre 2004. En avril, à moins que ce soit en mai, nous sommes allés faire du vélo sur l’île de Ré. Il n’était pas malade à ce moment-là. Et pendant sa maladie, je l’ai soigné jour et nuit. Vous savez, on a vécu des moments très durs : j’ai perdu mon frère, ma mère… C’est le seul membre de ma famille qui me reste.


S’il vous demandait une place sur votre liste, comment réagiriez-vous ?
Chaque chose en son temps. Comme dit Albert Camus : « Ce qui compte, c’est d’être vrai et alors tout s’y inscrit, l’humanité et la simplicité. » Etre vrai avec le respect dû aux personnes. J’ai ouï-dire que mon père veut mettre sur son site Internet une photo de lui et de ma mère. On n’a pas le droit d’aller chercher les morts pour faire de la politique. On a tous des histoires de famille plus ou moins malheureuses, mais on peut régler ça entre quatre murs. Je trouve ça détestable, pitoyable. Malgré tout, je pars sereine et confiante.

vendredi 15 février 2008

élections municipales de Mars 2008 : les candidats.



Joëlle Ceccaldi-Raynaud
Candidate investie par l'UMP 
et soutenue par le Nouveau Centre, le Parti Radical et le CNI


Stéphane Vazia : 
Candidat PS-gauche plurielle


Christophe Grebere : 
Sans Étiquette


Charles Ceccaldi-Raynaud : 
Sans étiquette

jeudi 14 février 2008

le modem oublie Christophe Grebere et Sylve Cancelloni

Alors que le candidat "sans étiquette" publie sur son site une lettre signée par François Bayrou donnant à sa colistière l'investiture de mouvement démocrate daté du 15 janvier 2008, il semble que le modem ne souhaite pas se vanter de cette alliance contre-nature.
En effet, la liste des investiture au 22 janvier 2008 ne fait état ni d'un soutien à Monsieur grebere ni d'une investiture de Mme Cancelloni à Puteaux.

Étrange !

mercredi 13 février 2008

Quand Charles Ceccaldi-Raynaud veut salir la campagne

Tout les moyens sont bons ! Le combat électoral et la haine d'un homme envers sa famille n'excusent pas tout. Après avoir usé de mensonges et de propos diffamatoires contre sa fille pendant plus de deux ans, couvert de ridicule par sa prestation devant les caméras de M6, il s'attaque désormais aux membres de la liste Union pour Puteaux.

Il veut du sensationnel, il veut être cité par le Parisien.

Il publie sur son site des articles mensongers et diffamatoires. 
Celle qu'il voudrait faire passer pour "sa nièce" les rédige.
L'ancien avocat pense que internet le place au-dessus des lois.

La justice tranchera. 

samedi 2 février 2008

approximations et mensonges en cascade

lorsque deux journalistes sans talent particulier ne sont plus lus, il existe une solution pour vivre.


Pour vivre, il faut vendre et pour vendre il faut parler de Nicolas SARKOZY.
Tout a déjà été écrit sur l'homme, les deux journalistes opteront pour le département des Hauts-de-Seine le 9-2.


"9-2, le clan du Président", publié chez Fayard, est rempli d'approximations (certainement) involontaires. Lorsqu'ils s'attaquent à Puteaux, ils oublient des dates, ils les sélectionnent.


"Le premier acte de ce mauvais remake du Roi Lear s’est joué en 2004, lorsque Charles Ceccaldi a dû être opéré en urgence à l’hôpital Foch de Suresnes. L’opération, un double pontage cardiaque, le laisse sans force. Persuadé qu’il n’en a plus pour longtemps à vivre, il démissionne et fait élire sa fille en avril à la tête de la mairie par un conseil municipal aux ordres."


C'était il y a 4 ans, mais les journalistes ont (certainement) oublié.


2004
Les élections cantonales en mars.
Joëlle CECCALDI-RAYNAUD est élue Maire de Puteaux en Avril.
Charles CECCALDI-RAYNAUD entre à l'hôpital en Novembre.


Le mois de novembre arrive 7 mois après le mois d'avril. Même l'urgence ne permet pas de remonter dans le temps. Mais les journalistes écrivent, ils ne comptent pas.



Pour les deux "journalistes", Le conseil municipal, lui non plus, ne compte pas, les élus sont aux ordres. 
les conseillers municipaux ne sont que l'expression du suffrage universel, rien que ça.


Si la majorité municipale était aux ordres de Charles Ceccaldi-Raynaud, les élus auraient accepté le retour de l'ordonnateur.


Mais les élus de la majorité municipale sont libres, ils ne sont pas aux ordres, ils ont fait bloc autour de Joëlle CECCALDI-RAYNAUD, ils ont défendu Puteaux et les putéoliens.


Laissons passer les mensonges pour des approximations. Souhaitons aux deux "journalistes" de bien vendre leur bouquin. Souhaitons à leurs complices de rêver encore... quelques jours seulement.

vendredi 1 février 2008