Elle a travaillé dès l'âge de 21 ans...les trois points qui suivent l'affirmation la dispense de toute précision sur ce point, c'est à la fois son choix et son droit.
Qu'il soit difficile de comprendre les exigences que nécessitent le suivi d'une formation à l'ESSEC, nous en convenons aisément.
Nous serions même prêts à comprendre la modestie immense qui se dégage de cet amusant personnage.
Se basant sur la réussite individuelle de certains anciens élèves, elle se présente à nous comme leur héritière, elle a un problème avec l'héritage.
Elle ne nous ennuie pas. Nous pourrions même parfois éprouver de la tendresse pour cette jeune fille qui a du travailler, une fois, à l'âge de 21 ans et qui, comme tant d'autres, a du faire face aux difficultés de la vie pour trouver un logement, pour obtenir une bourse ou une subvention pour son association...
Mais a t-elle rencontré toutes ses difficultés ?
Comme ailleurs,
les petites oppositions tentent de faire croire à un isolement des élus au sein des mouvements politiques.
Sur son blog, l'ancien maire affirme qu'aucun élu du département n'est venu à la réception des personnalités, son porte-plume relève l'absence de Nicolas SARKOZY.
Pourtant, de nombreux élus du département étaient là, j'ai personnellement pu croiser un certain nombre d'entre eux parmi lesquels Jean-Paul DOVA, Yolande DESHAYES, Patrick et Isabelle BALKANY, Lucien MAROTEAU, Yves REVILLON, NIcole GOUETA, Jacques GAUTIER, Eric BERDOATI, François KOSCIUSKO-MORIZET, Jean-Pierre FOURCADE, Charles PASQUA, Dorothée PINEAU...
Nicolas SARKOZY n'a participé à aucune cérémonie se déroulant après le 14 Janvier, date de sa désignation officielle comme candidat à l'élection présidentielle, pour des raisons qui semblent pourtant faciles à comprendre pour une étudiante de l'ESSEC.
Porte-plume voit des contractuels municipaux craintifs partout. Les contractuels municipaux se sentent plus libres que jamais et ils feront face, le moment venu, aux menaces et aux pressions exercées par les oppositions.
Souhaitons à nos adversaires de retrouver de la sérénité, souhaitons leur de retourner, parfois, passer de courts séjours à Nice ou ailleurs pour se reposer et pour constater qu'il peut y avoir une vie après Puteaux.
Qu'il soit difficile de comprendre les exigences que nécessitent le suivi d'une formation à l'ESSEC, nous en convenons aisément.
Nous serions même prêts à comprendre la modestie immense qui se dégage de cet amusant personnage.
Se basant sur la réussite individuelle de certains anciens élèves, elle se présente à nous comme leur héritière, elle a un problème avec l'héritage.
Elle ne nous ennuie pas. Nous pourrions même parfois éprouver de la tendresse pour cette jeune fille qui a du travailler, une fois, à l'âge de 21 ans et qui, comme tant d'autres, a du faire face aux difficultés de la vie pour trouver un logement, pour obtenir une bourse ou une subvention pour son association...
Mais a t-elle rencontré toutes ses difficultés ?
Comme ailleurs,
les petites oppositions tentent de faire croire à un isolement des élus au sein des mouvements politiques.
Sur son blog, l'ancien maire affirme qu'aucun élu du département n'est venu à la réception des personnalités, son porte-plume relève l'absence de Nicolas SARKOZY.
Pourtant, de nombreux élus du département étaient là, j'ai personnellement pu croiser un certain nombre d'entre eux parmi lesquels Jean-Paul DOVA, Yolande DESHAYES, Patrick et Isabelle BALKANY, Lucien MAROTEAU, Yves REVILLON, NIcole GOUETA, Jacques GAUTIER, Eric BERDOATI, François KOSCIUSKO-MORIZET, Jean-Pierre FOURCADE, Charles PASQUA, Dorothée PINEAU...
Nicolas SARKOZY n'a participé à aucune cérémonie se déroulant après le 14 Janvier, date de sa désignation officielle comme candidat à l'élection présidentielle, pour des raisons qui semblent pourtant faciles à comprendre pour une étudiante de l'ESSEC.
Porte-plume voit des contractuels municipaux craintifs partout. Les contractuels municipaux se sentent plus libres que jamais et ils feront face, le moment venu, aux menaces et aux pressions exercées par les oppositions.
Souhaitons à nos adversaires de retrouver de la sérénité, souhaitons leur de retourner, parfois, passer de courts séjours à Nice ou ailleurs pour se reposer et pour constater qu'il peut y avoir une vie après Puteaux.
4 commentaires:
C'est pas la modestie qui l'étouffe porte-plume,
il en est des collaborateurs comme du vin, il grand temps d'arrêter le vin !
Soit l'ancien maire est un menteur chronique, soit les élus l'évitent, soit les deux...
C'est pas moi, c'est ma fille !
Quelle courage, je comprends mieux son "Adieu, la Corse."
minable !
Il est étonnant qu'il ne dise pas que sa fille lui a volé la réponse du préfet... un oubli sans doute !
Se défausser sur sa fille, quel Courage!
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